Tout commence à la puberté !

La puberté, c’est une période de transition pendant laquelle il se passe de nombreux changements dans ton corps et dans ta tête. Cela ne se fait pas en quelques semaines mais pendant quelques années entre 8 et 16 ans. Pendant cette période, ton corps évolue pour prendre une apparence plus adulte.

Cette période est souvent accompagnée de nombreuses questions : Qu’est-ce qui m’arrive? Pourquoi mon copain Djamel a déjà de la moustache et pas moi ? Pourquoi Sophie a une plus grosse poitrine que moi?

Le mot puberté vient du latin pubère = se couvrir de poil, en fait, il désigne dans le langage courant le développement des caractères sexuels secondaires, le changement de taille, de stature et l’évolution intellectuelle et psychique (changements dans les sentiments, les relations, les centres d’intérêt, etc.) qui se produisent entre l’enfance et l’état physique adulte.

La puberté commence en général entre 8 et 14 ans et dure environ 3 ans chez les filles. Et cela commence entre 9 et 16 ans chez les garçons, chez qui elle a une durée très variable. C’est à la puberté que commence l’adolescence et qui se prolongera, d’ailleurs, au-delà de la puberté. C’est là aussi que commence, parfois, ce qu’on appelle la crise d’adolescence car c’est la période où tu vis de nombreux bouleversements psychologiques et/ou sociaux.

Bien entendu, l’arrivée de la puberté n’a pas la précision d’une horloge. Chez certain·e·s, elle commencera plus tard que la “moyenne” habituelle, d’autres ont parfois un tel impact psychologique qu’ils (elles) ne se rendent pas compte qu’ils (elles) sont en pleine puberté. En résumé, ce n’est pas une science exacte, et bien des facteurs peuvent intervenir dans le développement ou la compréhension de sa puberté.

Que se passe-t-il à la puberté d’un point de vue physique?

La puberté implique des modifications anatomiques (croissance, évolution des organes sexuels) et physiologiques (mise en place des sécrétions hormonales et de la possibilité de se reproduire).
Ton organisme contient certaines hormones (= substances chimiques sécrétées par le cerveau, par les ovaires et/ou les testicules qui vont stimuler le développement et le fonctionnement des organes sexuels et autres caractères sexuels. A partir d’un certain âge, tu seras en mesure (si tu le souhaites) d’avoir des relations sexuelles avec la·le·les partenaires de ton choix.
Pour plus d’informations sur le cadre légal des rapports sexuels des mineur·e·s :  La loi et la sexualité.

Si tu es dans une relation hétérosexuelle, tu seras en mesure de concevoir un enfant avec ta·ton·tes partenaires. Ainsi, dans le cas où tu souhaites éviter une grossesse non planifiée, le plus judicieux serait de réfléchir à une méthode contraceptive qui te convient. Le pire moment pour en parler est finalement le moment où on a envie de passer à l’action. C’est pourquoi, il est préférable que tu en discutes à l’avance avec ta·ton·tes partenaires pour trouver la contraception qui vous convient et profiter au max le moment venu ! 😉

La puberté se manifeste par des signes visibles et d’autres moins visibles:

  • Des poils poussent sur ton pubis, tes aisselles et tes jambes;
  • Tu grandis plus rapidement qu’auparavant;
  • Parfois des boutons font leur apparition (= acné) sur ton visage parce que la peau devient plus grasse.

Chez les personnes ayant un pénis et des testicules

  • Des poils poussent sur le pubis, les aisselles, les jambes; tu attrapes un léger duvet sur le visage (un début de moustache et de barbe);
  • Tu grandis plus rapidement qu’auparavant, tu prends du poids et ton corps s’élargit;
  • Ta voix mue c’est-à-dire que ta voix varie de l’aigu au plus grave, cela peut te surprendre au début;
  • Ton pénis se développe et tes testicules grossissent car ils commencent à produire des spermatozoïdes. Dès le plus jeune âge, des érections (du pénis) spontanées se produisent et on découvre sur soi que caresser cette zone de son corps peut procurer du plaisir. A la puberté, les érections du pénis sont aussi liées à l’affection, l’excitation, au désir sexuel …

Chez les personnes ayant un vagin et un utérus

  • Tes seins se développent, la croissance de ta poitrine va prendre plusieurs années ;
  • Ton corps se transforme, ainsi certaines parties de ton corps s’arrondissent (seins, hanches, cuisses);
  • Tes premières règles arrivent : les ovaires vont commencer à libérer des ovules (en général, un par cycle menstruel). Ces ovules, lorsqu’ils ne sont pas fécondés entraînent l’apparition des règles. Une fois que ton premier ovule est relâché, c’est l’absence de fécondation qui déclenchent les premières règles. Ainsi, les pertes de sang seront plus ou moins abondantes et d’une durée qui varie de 1 à 10 jours.
    Ces pertes de sang viennent du vagin (pas de l’orifice urinaire et/ou de l’anus). Le sang n’est pas “sale”. Le sang est plus ou moins foncé en fonction du temps qu’il est resté au contact de l’oxygène dans l’utérus. Au début, les règles peuvent être d’une durée variable et ne revenir que quelques mois plus tard. Il faudra quelques mois voire quelques années pour que tes cycles soient réguliers (la durée d’un cycle est très variable et change d’une femme à l’autre).

Les protections disponibles pendant la période des règles sont les serviettes hygiéniques, les tampons, la culotte menstruelle et/ou la coupe menstruelle. Le mieux est d’essayer pour que tu saches ce qui t’apporte le plus de confort et d’hygiène.

Remarque: en France, d’ici 2023, les fabricants des protections périodiques (tampons et serviettes) auront l’obligation d’indiquer leur composition. En effet, il a été démontré que l’utilisation des tampons n’est pas sans risque pour la santé car ils contiennent des produits chimiques, qui peuvent entraîner la maladie, voire la mort. On parle du syndrome de “choc toxique”.

Dès le plus jeune âge, des érections (du clitoris) spontanées se produisent et on découvre sur soi que caresser cette zone de son corps peut procurer du plaisir. A la puberté, les érections du clitoris sont aussi liées à l’affection, l’excitation, au désir sexuel …

Chez les personnes intersexué·e·s

Les personnes intersexes sont des individus né·e·s avec des caractéristiques sexuelles (telles que les chromosomes, les organes génitaux, ou bien encore la structure hormonale) ne correspondant pas entièrement aux catégories mâle ou femelle, ou appartenant aux deux en même temps.

Les corps et les caractéristiques sexuelles des personnes intersexes sont des variations saines et naturelles des sexes humains. Ces variations innées, naturelles peuvent être multiples : les organes génitaux internes et/ou externes, les structures hormonales et/ou chromosomiques peuvent ne pas correspondre aux attentes médicales et sociales, tout comme d’autres caractéristiques sexuelles développées pendant la puberté telles que la masse musculaire, la répartition de la pilosité ou encore la stature, pour ne citer que celles-ci. Les variations des caractéristiques sexuelles ne sont pas toujours visibles à la naissance. Elles peuvent apparaître à différents moments: en période prénatale, durant l’enfance, à la puberté ou à l’âge adulte. Une personne peut s’en apercevoir très tôt ou bien plus tard au cours de sa vie. Suivant les circonstances et les spécificités corporelles, certaines personnes peuvent ne pas savoir qu’elles sont intersexué·e·s. Être intersexe est bien plus répandu qu’on ne le pense. On estime la population intersexe à 1.7% des naissances. La réalité est sans doute supérieure.

(Ce texte est tiré du site de l’asbl Genres Pluriels)

Que se passe-t-il à la puberté d’un point de vue émotionnel?

La puberté est une période pendant laquelle tes hormones sont en grande activité pour entamer la transition d’un corps enfant vers un corps adulte. Cela peut modifier ton humeur par moment, tu seras plus triste ou plus joyeux·euse. L’image que tu as de ton corps va être modifiée. On peut avoir la sensation d’être trop « enfant » dans un corps déjà adulte ou encore se sentir trop « adulte » dans un corps encore enfant. Ainsi, tu vas devoir en quelque sorte te ré-apprivoiser, découvrir ou redécouvrir ton identité pour trouver/retrouver ton équilibre.

La découverte de sa sexualité

Se masturber, c’est normal ?

Pendant toute leur enfance, les enfants se touchent le sexe. Iels se masturbent. Tout simplement. Se masturber, c’est se procurer du plaisir soi-même par des caresses, des frottements qui peuvent t’amener à un orgasme… Cela te permet de mieux connaître les parties intimes de ton corps, de mieux comprendre tes réactions et peut t’aider à te sentir plus à l’aise lors de tes futures relations sexuelles.
Si tu ressens du plaisir lorsque tu te masturbes (en général avec les mains), cela est tout à fait normal car tu caresses des parties de ton corps qui sont très sensibles et provoquent une excitation sexuelle : on les appelle les zones érogènes.

Il est possible de se masturber en stimulant leur clitoris au niveau du capuchon (cette partie externe est située là où les petites lèvres se rejoignent), et/ou en stimulant la partie interne du clitoris (située à l’entrée du vagin) en se pénétrant avec les doigts ou un objet . Certaines combinent la stimulation appelée « clitoridienne » (externe), vaginale (interne) et/ou d’autres zones qui procurent du plaisir. Les personnes ayant un pénis se masturbent par un mouvement de va et vient sur leur pénis. Les stimulations d’autres zones érogènes comme l’anus ou les tétons peuvent augmenter le plaisir de la masturbation.

La masturbation fait partie de ton plaisir solitaire et privé et ne concerne que toi (dans tes moments d’intimité). En effet, il s’agit d’un moment de plaisir où on apprend à se découvrir soi-même. Il n’y a pas de règle ou de marche à suivre. Tu es donc libre d’utiliser les techniques qui te conviennent le mieux et d’avoir recours à certains fantasmes. Se masturber est alors une source de bien-être mental et physique. En effet, la masturbation fait partie de ta sexualité et ce plaisir intime est, au final, une composante de ton bien-être dont la seule raison d’être pratiquée est que tu en aies envie.

Orientation sexuelle : plutôt les filles, les garçons ou plus… ?

Un jour, tu t’aperçois que tu éprouves une attirance affective et/ou physique envers des personnes du même sexe que toi (c’est ce qu’on appelle l’homosexualité), envers les garçons et les filles à la fois (c’est ce qu’on appelle la bisexualité) ou envers une personne du sexe opposé (c’est ce qu’on appelle l’hétérosexualité). Il est possible aussi que tu sois attiré·e (physiquement et/ou affectivement) par une personne peu importe son sexe (mâle, femelle, intersexe) ou son genre (fille, transgenre, garçon), c’est ce qu’on appelle la pansexualité. De nombreuses questions peuvent se bousculer dans ta tête : pourquoi ça m’arrive ?? Pourquoi suis-je comme ça ?? Suis-je normal(e) ?? Certains(es) auront dès l’adolescence une orientation sexuelle affirmée, d’autres auront plus de difficultés à la découvrir. Si tu te poses des questions n’hésite pas à consulter la fiche sur les orientations sexuelles ou le portail des orientations sexuelle :

En parler … avec qui ?

Parler de la sexualité avec tes parents, ta sœur ou ton frère n’est peut-être pas chose facile. Il est possible que tu sois plus à l’aise en parlant avec une personne extérieure à ton entourage, un·e ami·e, un·e éducateur·trice, une personne en qui tu as confiance, etc. N’hésite donc pas à t’adresser à d’autres personnes qui sont formées et prêtes à t’écouter: par exemple dans les centres de planning familial, dans des associations spécialisées ou à ta·ton médecin

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22 questions déjà posées

  1. Dymi
    7 février 2024

    J’ai 18ans je n’arrive pas à avoir des rapports sexuels Pourquoi ?

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      9 février 2024

      Bonjour Dymi,

      Rassures-toi, il n’y a pas d’âge « normal » pour un premier rapport. Il dépends de chacun, de quand il ou elle se sent prêt·e, de sa vie, de ses relations, etc. Le plus important est de t’écouter, même si parfois on peut ressentir de la pression face à ce que nos amis ou la société nous dit être normal. Saches aussi que 18 n’est pas du tout un âge tardif pour avoir son premier rapport si on regarde la moyenne belge.

      En effet, avoir un rapport sexuel n’est pas un objectif à accomplir absolument. C’est un moment que l’on vit à deux, pour le plaisir de chacun des partenaires, dans leurs envies et dans le partage. C’est donc avant tout une manière parmi d’autres de partager de l’intimité avec une autre personne. Rentrer en lien, se sentir prêt, être assez à l’aise avec un·e partenaire que pour avoir envie de passer à l’acte sont des choses qui peuvent prendre du temps et qui sont propres à chacun·e.

      L’envie de découverte est tout à fait naturelle, et s’il peut être frustrant de ne pas trouver de partenaire alors que l’on en a très envie, ce n’est pas pour autant que c’est de notre faute. Les relations humaines sont variées et pas toujours facile à naviguer.

      Si tu ressens le besoin de parler un peu plus de tes inquiétudes, n’hésite pas à t’adresser à un planning familial. Leurs travailleurs te recevront dans le secret professionnel et sans aucun jugement.

      J’espère que cela répond à ta question, n’hésite pas à nous recontacter si besoin !

      Répondre
  2. ;-;
    29 décembre 2021

    Bonjour…

    Je me sens hyper gêné de poser cette question puisque la masturbation féminine est assezz tabout dans mon entourage comparé à celle des garçons , mais il faut que je sache.

    Depuis que j’ai commencé , J’ai toujours frotté mon clitoris. Jusqu’a il y a 1 an ou je me suis demandé si je pourrais me mettre un doigt mais… étrangement… J’ai eu bcp de mal à trouver mon entrée vaginale (je suis vierge) car elle est vrm minuscule… vrm , Et c’était plutot désagréable voire légèrement douloureux , et je me demande même s’il sera un jour possible pour moi d’aavoir un rapport , j’ai bcp cherché mais on ne parle nulle part de la taille de l’entrée vaginale avant l’acte je suis inquiète… help

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      18 janvier 2022

      Bonjour,

      Nous sommes désolées de te répondre si tard, ton mail est malheureusement passe inaperçu!

      Il est compliqué pour nous de répondre à ta question de manière précise. Le “problème” pourrait être juste dû au manque de connaissance de ton corps (ce qui est tout à fait normal), ou au fait qu’on ne se sent pas assez relaxé.e ou à l’aise…plusieurs explications sont possibles.

      Ainsi, si ce que tu ressens te posent un problème et te font souffrir (ou créent un malaise, un questionnement), tu peux tout à fait parler auprès d’une personne spécialisée. Tu peux alors en parler à un.e gynecologue mais aussi à un.e psychologue et/ou à un.e sexologue en centre de planning familial. De cette manière tu pourras être rassuré.é par la réponse d’un professionnel.e de la santé. Pour rappel, tous les membres du personnel d’un centre de planning sont tenu.e.s à la confidentialité.

      N’hésite pas à revenir vers nous pour toute autre question 🙂

       

      Répondre
  3. ANONYMOUS FAMOUS
    17 mai 2021

    Combien de cm prends ont durant la puberté ?

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      20 mai 2021

      Bonjour ANONYMOUS FAMOUS,

      Il est tout à fait normal que tu te poses des questions sur les transformations qui se produisent pendant la puberté, surtout sur celles qui concernent ton intimité. Cependant, il n’existe aucune norme ni aucun modèle de pénis. En effet, il y en a de toutes les formes, de toutes les tailles : des petits au repos qui, en érection , deviennent très grands ; des grands au repos, qui ne grossissent pas trop lorsqu’ils sont en érection ; des tout courts, qui deviennent tout larges… Il y a ceux qui ont des érections verticales, d’autres horizontales, d’autres vers le bas… Il n’y a aucun modèle standard. C’est pour cela que nous ne pouvons pas donner une réponse précise à ta question.

      Si tu le souhaites, tu peux poser ta question auprès d’un centre de planning familial. En effet, les centres de planning familial sont composés de professionnels de la santé qui l’accueilleront sans jugement pour évoquer tes questions. Tu trouveras la liste des centres de planning familial en Belgique en cliquant sur le lien suivant: http://loveattitude.be/Liste-des-centres

      N’hésite pas à revenir vers nous pour toute autre question 🙂

      Répondre
  4. Fffffg
    21 avril 2021

    Quels sont les signes que ton kiki grossit?

     

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      21 avril 2021

      Bonjour Fffffg,

      Si ton pénis grossit cela signifie que tu remarque que par rapport à avant, il est plus grand ou plus épais. Au repos, certains pénis pénis ne grandissent pas du tout. Et c’est donc quand le pénis est en érection qu’il est possible de remarquer une différence. Ça change toujours d’un pénis à l’autre car chaque pénis est unique. Tu es la seule personne à être expert de ton propre sexe (et de ton corps en général) puisque c’est toi qui vit avec 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Tu es donc la personne la plus experte pour remarquer des changements (par observation, toucher, …).

      Si tu veux plus d’informations, tu peux cliquer sur la page du site OnSEXprime sur l’anatomie du pénis.

      Si tu remarques des changements sur ton corps et que cela t’inquiète, tu peux en parler à une professionnel·le de la santé et/ou, si ça a un impact sur ton moral, tu peux en parler à un·e professionnel·le de la santé mentale. Dans tous les cas, en centre de planning familial, tu seras accueilli en toute confidentialité et sans jugement.

      N’hésite pas à nous contacter pour toute question supplémentaire.

      Répondre
  5. Macayla
    8 mars 2021

    Bonjour, j’ai 16 ans et j’ai des doutes sur mon alimentation

    Je me demande si c’est vraiment grave, je mesure 1m68 pour 52kg, je consomme environ 700 calories par jours (j’ai passé toute une semaine à calculer ça pcq j’ai lu qlq part que les calories nécessaires se situaient entre 1200 et 1800 et étant quelqu’un qui n’a pas beaucoup d’appétit et qui mange donc très peu j’étais curieuse de savoir), je me demande donc si c’est si grave que ça ? Pcq j’ai lu que c’était dangereux de manger si peu mais je fais du mieux que je peux pour m’alimenter je mange à ma faim des fois je me force à manger un peu plus mais je n’y arrive pas.

    Auriez-vous des conseils ou des astuces pour manger +

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      10 mars 2021

      Bonjour Macayla,

      Le physique (les mensurations) quel qu’il soit n’est pas “grave”. En plus, les chiffres que tu trouves son des “fourchettes” moyennes mais sont peu précises pour l’appliquer à tout le monde de manière égale, si tu souhaites avoir des informations adaptées à ta situation, ton métabolisme (la manière dont ton corps va puiser de l’énergie dans ton alimentation), nous te conseillons de consulter un.e nutritionniste ou neuro-nutritionniste. Cette personne pourra alors t’aider à te situer et éventuellement te donner des conseils pour changer ce que tu souhaites changer dans ton alimentation.

      Dans le cas où ton alimentation et/ou ce que tu ressens dans les situations où tu manges te posent un problème et te font souffrir (ou créent un malaise, un questionnement), tu peux tout à fait parler auprès d’une personne spécialisée. Tu peux alors en parler à un.e nutritionniste mais aussi à un.e psychologue et/ou à un.e psychologue en centre de planning familial. Tu trouveras au lien suivant la liste des centres de planning familial en Belgique francophone: http://www.loveattitude.be/centres-de-planning/

      N’hésite pas à nous contacter pour toute question supplémentaire.

      Répondre
  6. Cece
    7 mars 2021

    Bonjour, j’ai 18 ans (je n’ai pas trouvé de thématique spécifique pour ma question et je m’en excuse d’avance)

    J’ai commencé à prendre la pilule à 16 ans (à cause de mes règles douloureuses) et depuis j’ai pris du volume au niveau de la poitrine (pas énormément juste un bonnet en plus, peut-être que c’est pas directement lié à la pilule et juste au fait que mon corps se forme)

    Avant je faisais du 85A et mtn je fais du 95B, et je sais que c’est pas énorme il me semble que c’est considéré comme petit ou moyen mais moi ça me complexe qmm pcq je les trouves un peu gros je les préférais avant

    Je voulais m’informer sur la réduction mammaire, je suis au courant que pour moi ça ne peut pas être pris en charge par l’état car ça ne me pose aucun problème de santé c’est juste esthétique.

    Savez-vous quels sont les tarifs en général pour une réduction mammaire et si il y a une réduction des aréoles qui va avec ?

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      8 mars 2021

      Bonjour Cece,

      Nous te conseillons de contacter directement ta mutuelle pour expliquer ta situation et vérifier si tu rentrerais éventuellement dans les critères.

      Concernant les prix d’une réduction mammaire, en recherchant cela sur internet, on peut estimer que cela coûte entre 3000€ et 4600€. Cependant, nous te conseillons de consulter le site internet de la clinique de ton choix et de les contacter par téléphone pour avoir plus de détail (notamment si les prix). De cette manière, tu pourras obtenir un devis (ou plusieurs si tu contactes plusieurs cliniques) pour te faire une idée du prix.

      N’hésite pas à nous contacter pour toute question supplémentaire.

      Répondre
  7. la fille gênée
    2 janvier 2021

    J’ai une question assez gênante qui est sur le sexe , plus précisément lors de la première fois :

    quand c LE MOMENT , est ce que le garçon trouve naturellement le bon trou ( y en a 3 , nn ? ) , ou est ce qu’il doit regarder nos parties intimes pour chercher , car il peut se tromper ( parce que si c’est ça , je préfère ne pas avoir d’enfants , C’EST TROP GÊNANT )

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      7 janvier 2021

      Bonjour la fille gênée,

      Quand c’est LE MOMENT de la première fois, c’est qu’on a envie de partager un moment intime avec un·e partenaire: c’est s’embrasser, se caresser, écouter ce qui fait plaisir à l’autre et respecter quand l’un·e ou l’autre dit non.

      Lorsqu’on commence à découvrir les relations sexuelles avec un·e autre, il y a de nombreuses premières fois: première fois qu’on s’embrasse, premières caresses, premières masturbations, premières … (ce dont vous avez envie et que vous êtes d’accord de faire).

      La première fois (et les rapports sexuels de manière générale) ne se limite pas à la pénétration vaginale ou anale. D’ailleurs, lorsqu’il y a pénétration, c’est que les partenaires sont mutuellement d’accord pour la pratiquer. Mais ce n’est pas une obligation pour qu’un rapport sexuel soit réussi. Ainsi, si tu veux dire “pénétration vaginale” quand tu parles du MOMENT et que tu as envie d’une pénétration vaginale, tu peux guider le sexe de ton partenaire là où tu veux. Si tu es gênée ou mal à l’aise, tu peux arrêter, dire STOP ou demander à ralentir quand tu veux. De la même manière, si ton partenaire est gêné ou mal à l’aise, il peut arrêter et dire STOP ou demander à ralentir quand il le souhaite. Ces moments d’intimité partagée procurent du plaisir à l’un·e et l’autre en faisant attention à ce qui fait plaisir et en faisant attention à respecter les limites de chacun·e. Tu trouveras une petite vidéo sur le consentement en cliquant sur le lien suivant: https://www.youtube.com/watch?v=S-50iVx_yxU

      Que tu aies une vie sexuelle active ou non, tu es libre de choisir d’avoir des enfants ou pas.

      N’hésite pas à nous contacter pour toute question supplémentaire.

      Répondre
  8. Anonyme
    22 septembre 2020

    bonjour, j’aurais 18 ans dans 1 mois, je ne vais plus en cours depuis mes 16 ans et demi

    De mes 13 ans jusqu’à mes 16 ans j’ai été victime de harcèrlement scolaire (de l’harcèlement autant moral que physique), cyber harcèlement, harcèlement sexuel (j’ai subi des agressions sexuelles à répétition) tout ça autant de la part des élèves que des professeurs et educateurs
    J’ai également vécu tout cela de la part de certains membre de ma famille, notamment des attouchements sexuels dans la petite enfance

    J’ai vécu dans le déni pendant un certains temps mais quand les souvenirs me sont revenus ça a été l’horreur, c’est comme si je revivais ces choses une deuxième fois

    Durant ces 365 jours je peux dire avec certitude que je suis sortie de chez moi moins de 20 fois, les seules fois où je sortais c’est pcq on me forçait

    Je n’aime plus rien du tout, tout pour moi est devenu une corvée, sortir est une corvée, me nourrir est une corvée, me lever de mon lit est une corvée, etc
    J’ai fait deux tentatives de suicide, une l’année dernière et une autre cette année, sans succès de toute évidence

    Je suis insomniaque, le peu de temps que j’arrive à dormir j’en fais des cauchemars et rien d’autre

    J’ai perdu le peu d’amis que j’avais car j’ai fait la morte pendant des mois car je ne savais plus où j’en étais et je ne sais toujours pas où j’en suis d’ailleurs…

    J’ai l’impression d’être spectatrice de ma propre vie

    Je ne dirais pas que j’ai envie de mourir mais en tout cas je n’ai plus envie d’exister, c’est ça la nuance

    J’aimerai disparaître et je voudrais que tout le monde m’oublie comme si je n’étais jamais venu au monde

    Rien ne me réconforte, on essaie de me faire des cadeaux mais ça me déprime plus qu’autre chose, je ne suis pas superficielle et encore moins matérialiste

    J’ai déjà été voir des psychologues plusieurs fois mais non seulement ça ne m’a pas aidé car je n’arrive pas à me confier sur absolument tout mais en plus ça a un certain coût donc j’ai préféré abandonner l’idée

    Mais j’ai été diagnostiquée hypersensible, ça ça n’a pas vraiment été une surprise puisque je me mets à pleurer dès que quelqu’un hausse le ton avec moi, je me sens agressée, et je pleure d’avantage quand la personne minimise mes souffrances en disant que j’exagère en pleurant “juste” pour ça

    A chaque fois que j’essaie de penser rien qu’au positif, le négatif me rattrape

    Ma famille me reproche souvent de gâcher ma vie…
    Mais comment suis-je censé vivre une vie normale si plus rien ne m’attire et plus rien ne m’intéresse ?
    En réalité je me sens déjà morte, finalement il n’y a que mon enveloppe corporelle qui est en vie

    Et je voulais rajouter que je ne me sens pas submergée juste par mes propres souffrances mais aussi celles des autres, que ce sois la souffrance de mes proches ou la souffrance d’inconnus

    J’ai même l’impression de souffrir beaucoup plus à la vu de la souffrance des autres que de mes propres souffrances.
    Je suis véritablement horrifiée et attristée par le monde dans lequel on vit aujourd’hui, j’en ai parfois les larmes aux yeux, je n’arrive pas comprendre comment on peut faire du mal aux autres et continuer de vivre comme si de rien était sans aucuns remords

    Vous allez sûrement penser que je suis inconsciente mais pour moi l’humanité doit disparaître, il n’y a plus rien à sauver…La Terre elle, elle se porterait très bien sans nous

    Je n’attends pas forcément de réponse à cet énorme pavé mais j’arrive mieux à me confier à l’écrit qu’à l’oral, d’où la raison pour laquelle je suis ici et non pas devant un psy

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      24 septembre 2020

      Bonjour Anonyme,

      Tout d’abord nous tenons à te dire que nous ne pensons pas que tes souffrances soient “exagérées”. Chacun·e a une sensibilité différente qui est le résultat d’expériences vécues, de l’environnement qui l’entoure, des caractéristiques de sa propre personnalité et de beaucoup d’autres facteurs qu’il serait trop long de lister ici.

      Les émotions, la perte de sommeil, la perte d’appétit, … sont des signaux envoyés par le corps pour réagir et retrouver un équilibre. Pour cette raison, quand on parle des émotions d’autrui, aucun jugement de valeur n’est légitime vu que les émotions ne sont pas “contrôlables” selon nos envies et nous les ressentons telles qu’elles sont (d’une intensité plus ou moins forte) et quand elles arrivent. Elles découlent de facteurs différents, qui ne sont par ailleurs pas toujours facile à détecter. C’est pour cette raison que nous t’encourageons à continuer, comme tu le fais dans ce message, de mettre des mots sur les maux que tu ressens pour y trouver du sens.

      Vis-à-vis des violences sexuelles que tu as vécues pendant la petite enfance de la part de membres de ta famille, tu peux contacter SOS Inceste. Cette association est spécialisée pour venir en aide aux personnes qui ont été victimes de ce type de violence. Tu y trouveras des personnes compétentes qui pourront t’aider, t’écouter et t’accompagner dans tes démarches. C’est toi seule qui décide ce que tu souhaites entreprendre: libre à toi de venir les contacter une ou plusieurs fois, autant que tu veux et comme tu veux. Ainsi, si te déplacer n’est pas encore envisageable, tu peux les contacter par téléphone: le 0800 30 0 30 est un numéro de téléphone anonyme, gratuit et disponible 24h/24 et 7jours/7. Si les contacter par téléphone n’est pas envisageable et comme il semble que tu te sens plus à ton aise à l’écrit, tu peux utiliser le chat qui est disponible sur leur site. Tu pourras parler de manière anonyme, gratuite et leur parler de ce que tu souhaites, au rythme que tu souhaites:  https://www.ecouteviolencesconjugales.be/services/jeunesse/sos-inceste/

      Si tu souhaites t’exprimer par écrit de manière anonyme et gratuite, Télé-Accueil (joignable au n° 107 – gratuit et anonyme) propose un chat de 13h à 3h du matin, tous les jours: https://www.sos-amitie.com/web/internet/chat

      Si tu trouves que ces émotions te submergent et entament de manière prolongée ton goût et ta joie de vivre, tu peux choisir d’entreprendre une thérapie pour les apprivoiser et entre autres choses, retrouver un peu de sens à l’existence.. Ainsi, seul·e un·e professionnel·le de la santé psychologique pourrait apporter des solutions concrètes vis-à-vis des émotions que tu ressens et des émotions que tu ressens de la part des autres. Nous entendons, par ailleurs, la réticence à consulter à nouveau un·e psychologue, vu le prix et les mauvaises expériences passées. Effectivement, le lien de confiance avec un·e thérapeute s’instaure avec le temps et il est essentiel pour la bonne réussite du parcours thérapeutique. Il arrive que ce lien ne s’instaure pas pour diverses raisons : nous t’encourageons alors à continuer à chercher un·e thérapeute qui te convient pour que ce lien essentiel à ta démarche vers un mieux-être et à ton parcours de guérison, se tisse. Tu es libre de choisir ce dont tu parles avec la·le thérapeute. La·le thérapeute est alors là pour t’aider à identifier ce qui te pose problème et à trouver tes solutions en fonction de ce que tu as envie de partager.

      Concernant le prix des soins, certains centres de santé mentale appliquent des prix adaptés aux possibilités des bénéficiaires, comme celui de l’UCL : https://chapelle-aux-champs.be/accueil/consultations/

      De la même manière, tu peux te rendre dans un centre de planning familial. En effet, en centre de planning familial, tu pourras rencontrer un·e médecin, un·e psychologue et d’autres professionnel·le·s en mesure de t’aider à trouver les solutions les plus adaptées à ta situation, sans jugement, sans tabou et avec la certitude qu’aucune information ne sera divulguée. Les centres de planning familial sont également là pour prendre en compte tes difficultés financières. Ils peuvent t’aider à faire le point et te proposer des tarifs adaptés à ce que tu estimes pouvoir payer.

      Toutes les personnes travaillant dans un centre de planning familial sont tenues au secret professionnel. Ainsi aucun membre de l’équipe ne peut divulguer à d’autres personnes des informations sur leurs patients à propos de leur santé (maladies, opérations …), de leur situation familiale, professionnelle, scolaire, etc, même si tu es mineure. Le secret professionnel s’étend à tout ce qui est évoqué lorsque tu es en centre de planning familial. Ils ne peuvent même pas dire, à qui que ce soit (ta famille y compris) s’ils t’ont rencontrée ou non.

      L’aspect financier ne doit pas constituer un frein. Il est donc préférable d’évoquer ta situation financière auprès des professionnel·le·s de santé qui t’accueilleront pour trouver une solution.

      Tu trouveras la liste des centres de planning familial en Belgique francophone en cliquant sur le lien suivant: http://www.loveattitude.be/centres-de-planning/

      Si tu trouves sur Bruxelles tu peux m’appeler au 02.514.41.11 (tu demandes Caterina) et on essayera de trouver une solution ensemble 🙂

      N’hésite pas à revenir vers nous pour toute autre question 🙂

       

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  9. Hannah
    27 juin 2020

    Bonjour, je n’ai pas trouvé une “bonne” thématique pour ça

    Mais je suis une personne de nature anxieuse et j’ai remarqué que dès que je suis né serait-ce qu’un tout petit peu angoissé j’ai subitement des hématomes qui apparaissent sur différentes parties de mon corps, je ne comprends pas pourquoi?

    Auriez-vous une explication sur ce phénomène? Est-ce que c’est grave ?

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    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      2 juillet 2020

      Bonjour Hannah,

      Seul un médecin est en mesure de poser un diagnostic après examen médical et éventuellement analyse.

      L’idéal serait alors de consulter un.e médecin traitant ou un·e médecin en centre de planning familial afin de recevoir un avis médical. De cette manière, tu pourras trouver la solution qui te convient le mieux avec les conseils d’un·e professionnel·le de la santé. Tu trouveras la liste des centres de planning familial en Belgique francophone en cliquant ici: http://www.loveattitude.be/centres-de-planning/

      Toutes les personnes travaillant dans un centre de planning familial sont soumises au secret professionnel. Aucun membre de l’équipe ne peut divulguer à d’autres personnes des informations sur leurs patient·e·s à propos de leur santé (maladies, opérations …), de leur situation familiale, professionnelle, scolaire, etc. Le secret professionnel s’étend à tout ce qui est évoqué lorsque tu es en centre de planning familial. Ils ne peuvent même pas dire, à qui que ce soit (ta famille y compris) s’ils t’ont rencontré(e) ou non.

      L’accueil est gratuit et le prix des consultations varie en fonction du type de consultation. En effet, certaines consultations peuvent être gratuites tandis que d’autres peuvent être payantes. Pour les consultations payantes, si tu es en ordre de mutuelle, tu auras accès à des prix bas. Si tu éprouves des difficultés financières ou que tu n’es pas en ordre de mutuelle, tu pourras en parler à un·e membre de l’équipe pour qu’on en tienne compte.

      N’hésite pas à revenir vers nous pour toute autre question 🙂

       

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  10. ...
    22 juin 2020

    Bonjour, quand je jouis, mon sperme n’est pas blanc mais transparent et ressemble plus à du liquide pré-éjaculatoire. Je ne sais pas si j’ai atteint la puberté.

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    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      24 juin 2020

      Bonjour … ,

      La texture du sperme peut varier de blanc et épais à liquide et transparent. En général, plus les éjaculations sont fréquentes, plus le sperme peut devenir transparent et liquide.

      Comme précisé sur cette fiche, la puberté n’a pas la précision d’une horloge. Chez certain·e·s, elle commencera plus tard que la “moyenne” habituelle, d’autres ont parfois un tel impact psychologique qu’ils (elles) ne se rendent pas compte qu’ils (elles) sont en pleine puberté. En résumé, ce n’est pas une science exacte, et bien des facteurs peuvent intervenir dans le développement ou la compréhension de sa puberté. Si tu te poses des questions sur ta puberté, tu peux te rendre dans un centre de planning familial afin de rencontrer un·e professionnel·le de la santé afin d’apprivoiser les changements qui se produisent dans ton corps. Les membres d’un centre de planning. Tu trouveras la liste des centres de planning familial en Belgique francophone en cliquant ici: http://www.loveattitude.be/centres-de-planning/

      Vu que nous sommes encore en “déconfinement”, nous te conseillons de téléphoner au centre de planning familial de ton choix afin de savoir comment le centre s’organise pour accueillir le public.

      N’hésite pas à nous contacter pour toute question supplémentaire.

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  11. Nina
    5 mai 2020

    Bonjour, je ne sais pas si je me trouve au bon endroit mais voici mon problème

    J’ai 16 ans, je voudrais savoir s’il faut forcément voir un spécialiste pour nous diagnostiquer des troubles du comportement alimentaire ou si on peut se diagnostiquer nous mêmes

    Le truc c’est que je me sens vraiment très mal dans ma peau et je peux passer une semaine entière sans manger rien qu’à boire de l’eau pcq j’ai peur de grossir

    Mais le truc c que quand je remange je mange surtout des chocolats et je reprends tout le poids
    Et donc après je recommence le rituel et je reste 3 à 4 jours sans manger à boire de l’eau à outrance en me forçant à dépasser mes limites en faisant du sport

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    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      6 mai 2020

      Bonjour Nina,

      Les troubles du comportement alimentaires sont des pathologie pour lesquels un diagnostic médical doit être poser. Notamment car il existe de nombreux type de trouble.
      Cependant, plusieurs éléments peuvent alerter et mener à la nécessiter de consulter, comme le  fait d’avoir le sentiment de perdre le contrôle de son alimentation ou avoir le sentiment que l’alimentation domine sa vie par exemple.

      Se sortir d’un trouble du comportement alimentaire prend du temps et nécessite une prise en charge spécialisée qui ne se limite pas seulement à l’alimentation mais aussi à un travail de confiance en soi.
      Bien que ce ne soit pas toujours facile nous te conseillons d’aborder la question avec tes proches ou si cela ne te semble pas possible avec un professionnel de la santé (comme ton médecin traitant ou un planning familial par exemple).

      N’hésite pas à nous recontacter pour toute autre question.

       

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