Le paysage politique : quelles sont les grandes idées politiques représentées en Belgique ?

La politique est un sujet qui peut parfois paraître difficile à comprendre. En Belgique comme ailleurs, les idées politiques représentées par les différents partis sont très diversifiées. Afin de mieux comprendre d’où viennent les idées de chacun, nous avons résumé les grands courants sur lesquels se basent la politique moderne.

Les grandes tendances politiques

Gauche ou droite ?

Tu as probablement déjà entendu parler de la distinction gauche/droite en politique. Elle trouve son origine dans les premières assemblées parlementaires après la Révolution française. En effet, au moment de s’asseoir, les membres de l’assemblée avaient pris l’habitude de s’installer en fonction de leur opinion politique : les défenseurs de la classe populaire à gauche et les classes sociales supérieures à droite.

À l’heure actuelle, cette distinction ne suffit plus à représenter fidèlement la complexité des différentes idées politiques. Elle reste pourtant un repère fréquemment utilisé et permet d’envisager de manière synthétique les différentes idéologies politiques. On considère généralement que la gauche est plus égalitariste. Elle se prononcera souvent en faveur de l’égalité des droits et d’une redistribution des richesses. Elle défend plutôt l’intérêt collectif que les intérêts individuels et s’oppose à une liberté économique sans contrôle de l’État. La droite quant à elle défend plutôt des valeurs de liberté, de mérite et de tradition. Elle a tendance à plutôt défendre une liberté économique entière et considère l’égalitarisme comme un obstacle à la liberté individuelle.

Certaines formations politiques se disent “centristes”, cela signifie qu’elles désirent faire une synthèse entre les idéaux de gauche et les idéaux de droite. Ces formations adhèrent à certaines valeurs de chaque “côté” et essayent de les regrouper dans un ensemble cohérent.

Conservateur ou progressiste ?

Les conservateurs sont de l’opinion qu’il vaut mieux conserver les traditions et, par extension, refuser les évolutions politiques et sociales. Tu auras sans doute déjà entendu que lorsqu’une personne a des idées ultra-conservatrices, on va parfois jusqu’à la qualifier de “réactionnaire” ou de “réac”.

Les progressistes considèrent en général qu’une transformation profonde et une évolution des structures sociales et politiques sont nécessaires pour plus de justice sociale.

En général, la droite est considérée plutôt conservatrice alors que la gauche est vue comme plutôt progressiste. Mais évidemment rien n’est blanc ni noir et chaque parti peut adopter une position plutôt conservatrice sur certains sujets et plutôt progressiste sur d’autres.

Les grandes idéologies politiques

L’anarchisme

L’anarchisme, souvent situé à l’extrême gauche, est un courant politique qui propose de déconstruire la structure sociale en supprimant toute forme d’exploitation et de domination, à savoir : l’État, la propriété privée et la religion. L’anarchisme part du principe que, libérés de ces contraintes, les citoyens seraient libres de s’organiser de manière égalitaire et fédérée sans qu’il n’y ait de primauté de l’organisation sur l’individu ou de certains individus sur d’autres.

Les anarchistes sont en faveur d’une démocratie directe : cela signifie que chaque citoyen aurait son mot à dire sur chaque décision. Cela s’oppose à la démocratie indirecte en place dans la plupart des États occidentaux aujourd’hui, où les décisions sont prises par des représentants élus.

Si aujourd’hui le mot anarchie est synonyme de chaos, c’est parce que les opposants politiques de l’anarchisme en ont longtemps fait cet usage. Estimant qu’une société sans pouvoir central mènerait inévitablement au chaos. Pour les anarchistes, l’anarchie correspond à une situation harmonieuse, fondée sur l’égalité entre les individus, l’autogestion et le collectivisme.

En Belgique, aucun parti ne se revendique anarchiste : en effet, le but des anarchistes n’est pas de gouverner mais plutôt qu’il n’y ait pas de gouvernance.

Le communisme

Les valeurs centrales de la pensée communiste sont l’abolition de la propriété privée au profit d’une propriété collective, l’égalité stricte entre tous les citoyens et la suppression du marché. En économie, le “marché” est le lieu de rencontre fictif des vendeurs (l’offre) et des acheteurs (la demande). De cette confrontation naît l’échange et donc la fixation des prix.

Comme l’anarchisme, l’idéal du communisme est la vie en collectivité autogérée. Il existe néanmoins une différence fondamentale entre le communisme et l’anarchisme : là où l’anarchisme défend la liberté individuelle de chacun, et la cohabitation pacifique et complémentaire des intérêts individuels, le communisme, lui, insiste avant tout sur l’importance de l’intérêt collectif.

Karl Marx est considéré comme le principal penseur communiste. Selon lui, pour atteindre une société communiste, il faut d’abord une révolution, suivie d’une phase appelée « dictature du prolétariat ». Pendant cette phase, les travailleurs (le prolétariat) prennent le contrôle des moyens de production. L’objectif est de supprimer progressivement l’État et de créer une société égalitaire, où tout le monde est égal : la société communiste.

Au XXe siècle, certains communistes ont préféré instaurer un parti unique pour diriger la phase socialiste. Ils pensaient que la dictature du prolétariat n’était pas réalisable. Cela a conduit à des régimes dictatoriaux en URSS et en Chine, ce qui rend le communisme contesté de nos jours.

En Belgique, le PTB (Parti du Travail de Belgique) ou PVDA (Partij van de Arbeid van Belgïe) se définit comme Marxiste. Bien que son programme ne soit plus communiste aujourd’hui, il est l’héritier de ce courant de pensée. Il s’agit du seul parti en Belgique non divisé par le clivage linguistique.

Le socialisme

Le socialisme est un courant politique qui vise à réformer la société pour favoriser la justice sociale. Ses valeurs fondamentales sont l’égalité des chances, la redistribution équitable des ressources et la priorité de l’intérêt collectif sur l’intérêt individuel.

On l’a vu, la pensée socialiste naît historiquement dans la pensée communiste. Elle s’en éloigne cependant sur deux points fondamentaux. Premièrement, là où le communisme revendique une phase de dictature du prolétariat, le socialisme préfère ce qu’il appelle la “sociale-démocratie”. Cela signifie qu’ils estiment préférable d’implémenter le changement via la démocratie que via la dictature du prolétariat. Deuxièmement, là où le communisme revendique une suppression du marché, le socialisme, lui, préfère sa régulation et une redistribution des ressources.

En Belgique, le premier parti socialiste, le POB (parti ouvrier belge), naît en 1885 suite à la question de misère sociale posée par la révolution industrielle. Le POB devient ensuite le PSB (parti socialiste belge) et se scinde en 1978 pour avoir une aile francophone (le PS, parti socialiste) et une aile néerlandophone (la sp.a devenue Vooruit).

L’écologie politique

L’écologie est un mouvement qui se préoccupe de l’environnement. Plusieurs partis ont d’ailleurs intégré des idées en faveur de l’écologie dans leurs programmes. Mais cette préoccupation seule ne définit pas le mouvement de l’écologie politique. En effet, là où l’écologie figure dans le programme de nombreux partis, l’écologie politique amène un élément supplémentaire : la prise de conscience que les ressources disponibles sont limitées. Face à ce constat, certains mouvements d’écologie politique proposent une “croissance durable” alors que d’autres disent plutôt que la croissance infinie n’est plus possible.

Pour l’écologie politique, il faut agir sur ce qu’ils appellent la “sphère autonome”. La sphère autonome, c’est l’espace dans lequel vit le citoyen qui n’est ni influencé par l’État, ni influencé par le marché. Agir sur cette « sphère autonome » signifie travailler pour changer les attitudes, les comportements et les relations sociales à un niveau local, communautaire et individuel. Cela pourrait impliquer, par exemple, la création d’espaces publics pour le jeu et la socialisation, ce qui pourrait renforcer les liens communautaires et améliorer la qualité de vie. L’objectif serait de créer des formes de vie plus durables et écologiques qui ne dépendent pas de la croissance économique ou de l’intervention gouvernementale.

L’écologie politique revendique également la défense des communs (comme la nature, l’air, l’eau, les systèmes écologiques, etc). Elle estime qu’il faudrait trouver une voie de défense qui ne va ni par le tout pour l’Etat, ni par le tout au marché car elle estime que ces communs n’appartiennent ni à l’Etat ni au marché.

En Belgique, Ecolo et Groen, deux partis nés dans les années 70, se réclament de l’écologie politique. Ils sont tous deux plutôt en faveur d’une croissance durable.

La démocratie chrétienne ou l’humanisme

La démocratie chrétienne se base avant tout sur le principe chrétien de la dignité inaliénable de l’Humain (d’où sa requalification en Humanisme par certains). Un droit inaliénable, c’est un droit dont on ne peut être privé.

Contrairement aux communistes et aux socialistes, les démocrates chrétiens ne considèrent pas l’être humain comme un représentant d’une classe sociale mais plutôt comme un être unique et individuel. La responsabilité personnelle est donc centrale dans la démocratie chrétienne : chacun doit œuvrer à une société meilleure pour aider à créer le bien commun.

La démocratie chrétienne est une pensée qui se veut modérée : elle estime qu’il ne faut laisser une liberté totale ni à l’État, ni au marché, sans toutefois remettre en question leur existence même comme le font d’autres idéologies. Elle défend également souvent la liberté d’association.

La démocratie chrétienne est indissociable de son histoire. Elle apparaît au moment où le pouvoir religieux (spirituel) et le pouvoir politique (temporel) sont scindés : la religion n’est plus une raison légitime d’exercer le pouvoir. C’est ce que l’on appelle la sécularisation, et elle est notamment le résultat de la Révolution française. Il faut donc trouver de nouveaux moyens de gouverner, et cela passe par la création de partis qui participent aux élections démocratiques. Par ailleurs, apparus au moment de la révolution industrielle, les mouvements démocrates chrétiens désirent résoudre les questions de misère sociale des ouvriers et compte le faire par la lutte morale contre le libéralisme, vu comme la cause de cette pauvreté.

En Belgique, le parti catholique est né en 1894. Avec le parti libéral, il s’agit de l’un des deux premiers partis politiques belges, et ils se sont d’ailleurs longtemps opposés (notamment sur les questions de scolarité : c’est pour cela qu’en Belgique on a aujourd’hui un enseignement confessionnel et un enseignement non-confessionnel). Plus tard, le parti catholique devient le PSC (Parti Social Chrétien). En 1968, le parti se scinde au niveau linguistique. L’aile néerlandophone devient le CVP (Christen Volkspartij) puis le CD&V (Christen-Democratisch en Vlaams) en 2001. En 2002, l’aile francophone décide de rompre avec l’aspect confessionnel du parti et devient le cdH (centre démocrate humaniste). En 2022, le cdH devient Les Engagé·e·s et se réclame désormais d’une idéologie “humaniste régénérée”.

Le libéralisme

Le courant politique du libéralisme naît de la revendication des droits et des libertés individuelles. Le libéralisme estime que l’individu a des droits inaliénables (comme la liberté ou la propriété privée) et met ces droits au centre des relations sociales. Le libéralisme économique défend la libre entreprise et la liberté du marché. Le libéralisme a donc deux côtés : un côté politique et un côté économique.

Ces deux côtés du libéralisme peuvent parfois s’opposer : le libéralisme économique estime que le libre marché est un droit (le droit d’entreprendre notamment), et qu’il ne peut pas être limité. Certains courants du libéralisme politique estiment cependant que le marché laissé libre peut limiter d’autres droits (en créant de la pauvreté par exemple), et qu’il faut donc le réguler.

Le libéralisme est donc un courant très large : tout à gauche, on retrouve le libéralisme égalitaire où l’État a un rôle redistributif très fort. Ce libéralisme de gauche est en réalité très proche du socialisme. À la différence que le socialisme priorise l’intérêt collectif, contrairement au libéralisme (même de gauche) qui, lui, priorise l’intérêt individuel. Tout à droite, on retrouve le libéralisme économique, plus attaché à la défense du marché libre sans aucune intervention de l’État et à l’adaptation de la société pour qu’elle réponde pleinement aux exigences d’une économie capitaliste.

En Belgique, le parti libéral est né en 1846. Il s’est historiquement opposé aux démocrates chrétiens dans ses premières années, puis aux socialistes lors de l’apparition du POB. Le parti libéral se scinde plus tard en une aile francophone : le MR (Mouvement Réformateur) et une aile néerlandophone : l’Open-VLD (Open Vlaamse Liberalen en Democraten). DéFI, un parti plus récent sur la scène politique belge, se revendique quant à lui du libéralisme social.

Le nationalisme

Dans son premier sens, le nationalisme est une doctrine qui défend le droit pour un peuple (ethnique, culturel, religieux, etc.) de former un État-Nation. Un État-Nation est un État dont les citoyens se reconnaissent comme un peuple et/ou comme une communauté ethnique ou religieuse par exemple.

Dans son second sens, le nationalisme est un courant politique basé sur l’exaltation des valeurs nationales. En ce sens, il peut s’apparenter au chauvinisme ou au patriotisme.

Si le programme de la NV-A (Nieuwe Vlaamse Alliancie) est très large, une partie de ses idées, et notamment la notion de la Flandre comme Nation ayant le droit de prendre son indépendance relève de l’idéologie nationaliste.

Certains courants nationalistes vont jusqu’à prôner la primauté de la nation sur tout le reste. Dans cette idée, la nation et sa population doivent être priorisées à tout prix, notamment par rapport aux autres peuples et aux autres nations. Ce type de nationalisme est une des caractéristiques de l’extrême-droite (même si tous les partis nationalistes ne sont pas d’extrême droite, tous les partis d’extrême droite sont en général nationalistes).

L’extrême droite

Les idéologies d’extrême droite sont généralement caractérisées par l’inégalistarisme (différentes races, ethnies ou civilisations sont inégales par nature), le radicalisme (refus du compromis), et le nationalisme.

L’extrême-droite peut prendre des formes très variables, allant du parti politique représenté dans des assemblées (comme le Rassemblement National en France) à des groupuscules violents.

En Belgique, le Vlaams Belang est considéré comme un parti nationaliste d’extrême droite.

Tu trouveras plus d’informations sur l’extrême-droite et ses discours dans notre fiche “Qu’est-ce qu’une idéologie d’extrême-droite?”.

Et au final ?

Tu l’auras vu, beaucoup de courants politiques existent. Peut-être aussi que ton avis personnel ne se retrouve pas tout à fait dans une seule idéologie ? C’est bien normal ! La réalité est toujours plus complexe que les grandes théories. Chaque personne et chaque parti peut adopter des positions variables en fonction de la problématique abordée (l’emploi, l’économie, l’urbanisme, la mobilité, etc.). Par ailleurs, nous ne t’avons ici présenté qu’un résumé des idéologies politiques les plus connues. La réalité est évidemment bien plus nuancée et les idées politiques bien plus vastes et diverses.

N’hésite d’ailleurs pas à aller lire plus en détails le programme des différents partis politiques. Nous les avons rapidement évoqués ici en fonction de leur ligne conductrice, mais leurs idées sont évidemment plus complexes que quelques lignes qui résument une idéologie politique !

Si tu veux creuser un peu plus, le Podcast “Questions de Principes », a servi (entre autres) de source à cet article.  Tu peux également essayer le test électoral éducatif qui avait été mis en ligne pour les élections de 2019 (attention, les informations sont donc celles de 2019, la position de certains partis sur certains sujets a peut-être évolué depuis).

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4 questions déjà posées

  1. moineau indécis
    8 juin 2024

    Même si l’on désire voterpour un parti « centriste, comme « les Engagés » ou « Ecolo » rien ne garantit que , aprèsles élections, ce parti ne s’alliera pas avec un parti qui aura besoin des ses voix! pour avoir le pouvoir! D’où la difficulté de voter en Belgique! Vu la multiplicité des partis et des choix…

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      12 juin 2024

      Bonjour Moineau Indécis,

      Nous avons rédigé un guide sur ce sujet.

      Voici un extrait:

      Pour chaque élections il y a un nombre de sièges précis à pourvoir. Le nombre de sièges pour chaque parlement est établi selon le nombre d’habitants présents sur le territoire électoral. Au plus le territoire électoral est grand, au plus le nombre de sièges à répartir est élevé. Par exemple, il y a 150 sièges au Parlement fédéral de Belgique. La répartition de ces sièges entre les différents partis se fait lors des élections. Le nombre de sièges gagnés par un parti dépendra du nombre de voix qu’il aura récolté. Au plus il y a de votes, au plus il y a de sièges. C’est un système proportionnel. De manière générale, aucun parti ne rassemble plus de 50% des voix. C’est pourquoi, pour pouvoir gouverner, les partis doivent trouver des accords entre eux pour créer une majorité. C’est ce qu’on appelle former une coalition. Lorsqu’aucun accord n’est possible entre les partis, cela mène à une crise politique. Par exemple, suite aux élections fédérales en Belgique de 2019, la coalition n’a été validée qu’après un délai de un an et quatre mois. Les Belges sontdonc restés sans Gouvernement fédéral pendant toute cette période de négociations, ce qui a bloqué le pays sur plusieurs niveaux. Dans la pratique le système d’élection à la proportionnel est complexe, mais il garantit une représentation plus fidèle des différentes orientations politiques des citoyens.

      Donc, que quel que soit ton vote, le parti que tu choisiras devra s’allier avec d’autres partis s’il veut arriver au pouvoir. Sauf s’il obtient plus de 50% des voix. Ce qui n’arrive jamais. Mais cela ne veut pas pour autant dire que le parti se sépare de toutes ses valeurs en cherchant une majorité. Voter pour un parti lui permet donc d’avoir plus de poids dans la balance pour négocier ses propres projets avec les autres partis. Tu pourrais aussi voir les choses dans l’autre sens, si le parti a assez de voix, ce sont les autres partis qui pourraient s’allier à lui pour arriver au pouvoir.
      Dans le cas où le partis ne va pas dans le gouvernement, il rejoindra l’opposition : il s’alliera alors à d’autres partis pour contrer les propositions des partis avec lesquels il est en désaccord.

      D’une élection à l’autre, un parti peut gagner ou perdre beaucoup de plumes. Si bien qu’avant une élection, malgré les sondages, il est toujours compliqué d’estimer si le parti aura beaucoup de sièges ou non. Dans la configuration actuelle, par exemple, les Engagés ont fait une alliance avec le MR, tandis qu’ Ecolo avec ses scores plus bas, risque de se retrouver dans l’opposition. Il n’y a donc pas de manière sûre de savoir ce qu’un parti fera de ses votes.

      En espérant avoir pu t’aider, n’hésite pas si tu as d’autres questions !

      Répondre
  2. Momy
    14 février 2024

    Défi ?droite ou gauche ?

    Répondre
    1. Infor Jeunes Bruxelles (informateur certifié)
      15 février 2024
      Bonjour Momy,
      Sur son propre site internet, Défi se décrit comme centriste. Ils se réclament donc de motivations aussi bien de droite que de gauche. Si tu veux en connaitre plus sur le positionnement de centre-droite et d’une idéologie fédéraliste tu pourras en savoir plus en consultant les pages 14  et 15 du guide de Culture et Santé.
      En espérant avoir pu t’aider, n’hésite pas si tu as d’autres questions
      Répondre