Le harcèlement scolaire : rencontre avec Adèle Danckers, coordinatrice du service H
Le harcèlement scolaire est un phénomène ancien dont on a trop peu parlé pendant longtemps. Aujourd’hui, heureusement, ça change ! On en discute avec Adèle Danckers, coordinatrice du Service H, le tout nouveau service de lutte contre le harcèlement scolaire d’Infor Jeunes Bruxelles.
Bonjour Adèle ! On entend beaucoup parler de harcèlement scolaire depuis quelques temps. Pourrais-tu nous expliquer en quelques mots ses caractéristiques et ce qui le différencie des autres types de harcèlement ?
Le harcèlement scolaire, qu’on appelle aussi harcèlement entre jeunes, repose vraiment sur une dynamique de groupe. On estime que pour qu’il y ait du harcèlement entre jeunes, trois conditions doivent être réunies. La première c’est l’intention : les faits qui sont constitutifs du harcèlement doivent être posés de manière intentionnelle.
La deuxième condition c’est le déséquilibre des forces : ça veut dire que le harceleur doit se trouver dans une position de force, où il est « supérieur ». Il ne s’agit pas forcément de force physique. Ça peut être la force du nombre, le fait d’être plus à l’aise socialement ou plus âgé. A l’inverse la personne harcelée se trouve dans une position vulnérable, voir impuissante où elle ne sait plus quoi faire pour s’en sortir.
La troisième condition, c’est la répétition. C’est l’idée que les faits doivent se répéter dans le temps pour qu’on puisse parler de harcèlement.
Il est vraiment important de savoir que c’est une dynamique de groupe. Outre le harceleur et le harcelé, les témoins jouent un rôle hyper important. Souvent car c’est eux qui vont encourager le harceleur, soit en rigolant, soit en lui donnant un feed-back positif. Soit simplement en ne disant rien et qui ne dit mot consent ! Ce qui envoie un message au harceleur disant « Vas-y continue ». Parallèlement ça décourage vraiment la personne harcelée parce que ça l’isole complètement et qu’elle ne reçoit pas ou peu de soutien. A l’inverse, les témoins peuvent aussi être les personnes charnières qui font changer totalement la situation, qui viennent en aide à la victime, qui la soutiennent, voir qui envoient un message fort au harceleur en lui disant que ce qu’il fait n’est pas correct.
« En fait, on observe que l’objectif du harceleur n’est pas, comme on pourrait le croire, juste de faire mal à la victime. Son objectif premier est de se faire une place dans le groupe. »
Donc il faut qu’il y ait des témoins pour parler de harcèlement ?
Pour ce qui concerne le harcèlement entre jeunes sur lequel nous on travaille, les témoins ont effectivement souvent un rôle essentiel dans la dynamique. En fait, dans la majorité des situations, on observe que l’objectif du harceleur n’est pas, comme on pourrait le croire, juste de faire mal à la victime. Son objectif premier est de se faire une place dans le groupe, par exemple en faisant des vannes pas très drôles, ou bien en se moquant simplement et en faisant rire les autres. De cette manière, il se fait une petite place de caïd ou juste de rigolo, …Forcément donc pour lui c’est essentiel qu’il y ait des gens qui assistent à ce qu’il fait.
Maintenant si tu as une personne s’en prend à l’autre de façon répétitive sans qu’il y ait de témoin, ça ne sera pas forcément du harcèlement scolaire entre jeunes tel qu’on en parle aujourd’hui, mais ça sera un autre type de harcèlement qui du coup se traite d’une autre manière.
Et du coup, peut-on dire que la personne la plus fragilisée dans le harcèlement c’est parfois le harceleur ? Peut-être pas au moment même. Mais le fait de devoir mettre en place ce type de comportement pour exister n’est-ce pas le marqueur de soucis qui se révéleront sur le long terme ?
Ce que les recherches démontrent c’est en tous cas que les harceleurs sont des jeunes qui ont identifié des mécanismes violents pour se faire une place dans le groupe. Quand je dis violent, ça peut être de la violence physique ou verbale, des mensonges, de la manipulation, …Mais ça n’est pas pour ça que ce sont de facto des jeunes en souffrance. Dans son excellent livre Le harcèlement à l’école, Benoît Galand démonte l’idée reçue selon laquelle le harceleur est systématiquement un jeune en souffrance. Ce sont souvent des jeunes qui ont du mal à se faire une place autrement et il y a donc moyen de travailler avec eux sur ce point…mais ce ne sont pas forcément des jeunes qui souffrent.
Idem il y a cette idée reçue que ce sont des petits caïds…un peu des sociopathes n’ayant pas développé de sens de l’empathie. En fait, ce sont des jeunes comme les autres qui ont développé un sens de l’empathie, qui savent reconnaître les émotions chez les autres mais qui se trouvent des excuses pour ne pas voir qu’ils font du mal aux autres. Typiquement ce qu’on va entendre très souvent c’est « C’était juste pour rire, c’est lui qui n’a pas d’humour ». Ils se retranchent souvent derrière l’excuse de l’humour.
« Typiquement ce qu’on va entendre très souvent c’est « C’était juste pour rire, c’est lui qui n’a pas d’humour ». Ils se retranchent souvent derrière l’excuse de l’humour. »
Quand on entend ça, la question qui vient assez naturellement c’est : est-ce qu’on n’est pas tous un peu harceleur à un moment de sa vie, même sans le vouloir ou sans y avoir pensé ? Les enfants sont durs. On a tous le souvenir de blagues ou de remarques faites à l’école qui avec le recul des années étaient sans doute blessantes. Et la question que ça pose en filigrane c’est : est-ce qu’il y a quelque chose de nouveau dans ce phénomène qui fait qu’on parle plus actuellement que par le passé ?
Oui effectivement c’est un phénomène qui est vieux comme le monde. Dans la littérature du XIXème et du XXème siècle par exemple, tu as Poil de Carotte, Sa majesté des mouches, …ce sont tous des bouquins où on décrit des situations de harcèlement mais qui ne sont pas nommées comme telles parce qu’à l’époque on n’avait pas encore mis de mot sur le phénomène et qu’on ne s’en souciait pas plus que ça.
Il faut savoir qu’en Belgique on est un peu à la traîne sur ces questions de harcèlement. Dans les pays scandinaves par exemple, ils ont des décennies d’avance sur nous : ils étudient les violences scolaires et le harcèlement depuis les années 1970 ! Ici, il a fallu attendre quasiment 2010 et la parution dans la presse d’histoire choc où des jeunes victimes de harcèlement s’étaient ôté la vie, pour qu’une attention plus importante soit portée à ces questions-là.
Et pour répondre à ta première question, fondamentalement oui on peut tous avoir été harceleur ! On a un peu intériorisé socialement que le harcèlement était quelque chose de très grave et que donc ses auteurs étaient obligatoirement des sociopathes…Mais en fait non, ça peut être n’importe qui. On a tous un jour dans notre vie fait une mauvaise blague. Sauf que quand c’est un jeune à qui 10 personnes différentes vont faire la même mauvaise blague sur la journée, on tombe clairement dans ce schéma répétitif et tout le monde, inconsciemment peut-être, mais tout le monde a participé au harcèlement.
Est-ce que les réseaux sociaux, le fait de rester connecter avec ses amis, sa classe, son école en permanence, ont créé une caisse de résonnance supplémentaire pour ces phénomènes de harcèlement ?
Oui clairement. Avant quand on était harcelé à l’école et qu’on rentrait chez soi, on pouvait trouver une zone de paix et de calme. Maintenant, une fois rentré chez soi, ça continue sur les réseaux sociaux. Ça démultiplie les moments où le jeune est joignable et donc les moments où on peut s’attaquer à lui.
Le cyber-harcèlement est un terme un peu générique qu’on emploie pour plusieurs formes de cyber-violence différentes. Mais pour ce qui est du harcèlement entre jeunes, les études démontrent une très forte continuité entre le cyber-harcèlement et le harcèlement en face à face. C’est-à-dire que s’il y a du harcèlement en ligne, il y a aussi du harcèlement dans la « vraie vie » et les jeunes savent très bien qui se cachent derrière les profils qui les embêtent en ligne. Et pour les professionnels, c’est beaucoup plus compliqué d’intervenir sur les réseaux. Il est beaucoup plus compliqué de toucher les jeunes, de trouver des solutions, de faire supprimer des photos, des vidéos ou des commentaires qui posent problème.
» C’est beaucoup plus facile de réagir à 24 ans par exemple qu’à 15 ou 12 ans quand on essaye de se faire une place dans un groupe de gens qu’on ne connaît pas au collège. »
Est-ce que c’est un phénomène qui s’arrête avec l’âge ? Car quand on se documente sur ce phénomène, on peut identifier des comportements, des manières d’être qui existent aussi dans des groupes d’adultes ?
En fait, on parle de harcèlement entre jeunes parce qu’on observe qu’à partir d’un certain âge, le phénomène diminue assez drastiquement. Premièrement parce qu’en vieillissant les victimes deviennent plus à même de se défendre et ne vivent plus la chose comme du harcèlement. Elles sont capables de mettre de la distance. Ensuite parce que les témoins interviennent beaucoup plus facilement avec l’âge.
C’est beaucoup plus facile de réagir à 24 ans par exemple qu’à 15 ou 12 ans quand on essaye de se faire une place dans un groupe de gens qu’on ne connaît pas au collège. C’est beaucoup plus facile quand tu es plus âgé de dire « Mec c’est la troisième fois que tu fais cette vanne. Ce n’est pas rigolo ! C’est fatiguant. »
Idem les harceleurs vont moins adopter ce genre de comportement en vieillissant parce qu’ils trouvent d’autres manières d’entrer en relation avec les autres. Qu’ils grandissent et qu’ils se rendent compte que ça ne fait pas toujours rire ce genre d’attaques constantes. Maintenant, effectivement, il y en a qui continuent à garder ce genre de mécanismes mais qui vont être beaucoup plus cadrés par leur entourage ou par la victime. Puis en grandissant tu apprends à prendre de la distance avec ce genre de chose : quelqu’un qui t’embête et à qui tu as dit trois fois d’arrêter et qui continue, et bien tu prends tes distances et voilà…
Alors Infor jeunes Bruxelles a lancé une cellule qui s’occupe de harcèlement scolaire que tu coordonnes. Que faites-vous concrètement ?
Plein de choses ! On a lancé en octobre un service dédié au harcèlement scolaire. On travaille sur plusieurs axes différents : le premier c’est qu’on accompagne les écoles dans des projets de lutte contre le harcèlement scolaire. L’idée c’est d’arrêter de faire de la prévention où on va une fois dans la classe parler de harcèlement et puis on disparaît…A la place de ça, on essaye de former les équipes éducatives, les parents et même les élèves pour qu’ils soient quasiment autonomes : pour que les professeurs ou les éducateurs puissent eux-mêmes aller parler de harcèlement dans les classes, qu’ils puissent eux-mêmes réagir si une situation de harcèlement était identifiée dans l’école, que les jeunes trouvent leur place et participent à la création de ce projet, que les parents soient informés, sachent à qui s’adresser s’il y a un problème, …
Le deuxième axe c’est d’intervenir dans des situations de harcèlement à la demande d’écoles. Il arrive que des écoles qui n’ont pas encore été formées ne sachent pas trop quoi faire, soient un peu dépassées. Elles peuvent nous appeler et on va les accompagner pour essayer de mettre fin à la situation de harcèlement.
On propose aussi de l’accompagnement aux jeunes qui sont concernés par une situation de harcèlement. Ça peut être des victimes, des auteurs de harcèlement qui se sont rendus compte qu’en fait ils étaient harceleurs ou qu’en tout cas il y avait quelque chose de problématique et qu’ils ne savaient pas trop comment faire pour s’en sortir, voir même des témoins. Ce qu’on fait c’est qu’on leur offre un premier espace de parole où ils peuvent déposer leur vécu et, après, on les accompagne à leur rythme dans des démarches soit vis-à-vis des parents, soit vis-à-vis de l’école, soit les deux pour essayer de trouver des solutions.
Et enfin, vu qu’on reste un centre d’info à la base, on crée du contenu d’information sur le sujet du harcèlement comme aujourd’hui par exemple ! On s’associe à d’autres projets et on essaye de parler un maximum du sujet pour faire de la sensibilisation.
Et que peut-on faire concrètement ? L’image peut-être cliché qu’on a, c’est que la victime qui se plaint sera vue comme une balance et harcelée deux fois plus en retour. Y-a-t-il des possibilités de sortir par le haut de ce type de situation ou bien c’est toujours très compliqué ?
Non ça n’est pas forcément difficile. Ça demande parfois un peu de créativité par contre. Naturellement, on pense directement à l’exclusion ou à la sanction du harceleur. Malheureusement c’est souvent problématique dans la mesure où cela engendre des représailles et une aggravation de la situation.
Prendre le temps d’analyser la situation avec le personnel scolaire est très important car une situation de harcèlement n’en est pas une autre. Il n’y a pas de baguette magique, pas une solution qui fonctionne pour tous les types de situation. Il y a des situations qui sont vraiment graves et où il y a eu des faits qui s‘assimilent à des infractions pénales, comme des blagues racistes par exemple, et où un rappel au cadre est nécessaire. Ça peut être un rappel au cadre qui reste éducatif et ça ne doit pas forcément être une punition.
Mais il existe également d’autres méthodes comme le groupe d’entraide ou la préoccupation partagée. Ce sont des approches non-blâmantes donc on ne va pas parler de harcèlement, on ne va pas sanctionner. L’idée est plutôt de mobiliser un groupe de jeunes autour de la victime de harcèlement, de les amener à prendre conscience que la victime ne va pas forcément très bien et puis de les amener à proposer des idées de ce qu’eux peuvent faire pour l’aider à aller mieux.
Ce sont des méthodes qui partent du principe que le harcèlement est une dynamique de groupe, que tout le monde s’entraine un peu dans cette spirale sans fin où le harceleur qui fait des vannes finit par en faire car il sait que c’est ce qui est attendu de lui dans sa posture de leader, des témoins qui n’osent pas réagir car ils ont peur de devenir la prochaine victime…Il y a une sorte de norme du groupe qui se créée où la moquerie et le harcèlement ont leur place. L’idée va donc être de ré-individualiser chacun des jeunes et de leur donner une porte de sortie en essayant de changer cette norme du groupe.
« Le rôle des adultes est de faire du mieux qu’ils peuvent avec les moyens du bord. Je le regrette bien sûr mais la question du harcèlement scolaire ne fait pas systématiquement partie du cursus des enseignants ou des éducateurs spécialisés. »
Et quel est le rôle des adultes dans le phénomène ? On a un peu la sensation quand on se documente sur le sujet que les adultes ont souvent tendance à ne pas voir ce qui se passe ou à le minimiser dans un premier temps. C’est aussi ta sensation ?
Le rôle des adultes est de faire du mieux qu’ils peuvent avec les moyens du bord. Je le regrette bien sûr mais la question du harcèlement scolaire ne fait pas systématiquement partie du cursus des enseignants ou des éducateurs spécialisés. Ce qui veut dire qu’on part du principe qu’ils sont sensés savoir gérer, qu’ils sont sensés savoir ce que c’est et le repérer mais ils n’ont pas été formés à ça.
En prime, il y a dans le phénomène de harcèlement une notion d’invisible visibilité. Cela signifie que le phénomène est visible car les jeunes ont bien identifié qu’il se passait quelque chose qui n’est pas correct. Mais, consciemment pour certains, inconsciemment pour d’autres, ils vont mettre en place des mécanismes pour empêcher les adultes de se rendre compte de ce qu’il se passe. Je grossis le trait mais c’est typiquement la scène où c’est le bordel dès que le professeur écrit au tableau et quand il se retourne la classe est calme. Les phénomènes de harcèlement ont rarement lieu en présence d’un adulte. A ça il faut ajouter qu’en secondaire les professeurs ne suivent la classe toute la journée…Et donc même si deux professeurs différents relèvent par exemple une blague déplacée, il ne se rendent pas forcément compte de la dimension répétitive du phénomène.
Donc il y a effectivement des adultes qui pensent que le harcèlement doit être un phénomène extrêmement grave et qui auront tendance à minimiser, mais il y a aussi des adultes qui font du mieux qu’ils peuvent mais simplement ne se rendent pas compte…et c’est presque normal. Mais c’est un gros problème dans les situations de harcèlement car les adultes n’interviennent pas car ils ne se rendent pas compte de ce qui se passe, les témoins n’osent pas intervenir, la victime n’ose pas réagir et ne sait pas quoi faire, …Et donc nous généralement quand on a des jeunes qui s’adressent à nous, c’est que la situation a été très loin alors que si on avait pris conscience du problème plus tôt il aurait été plus simple de trouver une solution.
De mon expérience, la majorité des adultes veulent bien faire mais ils sont fort démunis…
Dernière question : quelqu’un qui verrait cette interview et qui serait confronté à une situation de harcèlement, qu’est-ce qu’il ou elle peut faire ?
Tout dépend de qui il s’agit.
Si tu es jeune et que tu es témoin de harcèlement, tu peux t’opposer à ce qui se passe devant le groupe si tu en as le courage…mais on sait que ça n’est pas toujours évident. Une autre solution est de voir qui sont les autres personnes qui ne trouvent pas ça drôle et d’aller leur parler pour voir ce qu’ils en pensent, pour éventuellement ensuite vous opposer à plusieurs. Une autre solution est d’aller voir un adulte de confiance.
Il ne faut pas avoir peur d’être traité de balance. On ne demande pas d’aller dénoncer une personne ou de l’accuser. Tu peux simplement aller dire que tu as l’impression que la victime ne va pas bien pour le moment et qu’il faudrait aller voir ce qui se passe. Il faut plutôt voir ça comme un rôle de lanceur d’alerte et pas comme un rôle de balance.
Une dernière solution c’est d’aller voir la victime. On sait que les victimes de harcèlement se sentent souvent fort seules. Donc ne serait-ce qu’aller lui parler, lui dire que tu as vu ce qui s’est passé et que ce n’est pas correct, voir comment tu peux l’aider, toujours en respectant son rythme bien sûr, ça peut déjà représenter beaucoup.
Si tu es victime de harcèlement, tu peux t’adresser à un adulte de ton entourage si tu en as le courage. Sinon, il existe des tas de service qui peuvent t’aider. Il y a bien sûr notre service à Infor Jeunes Bruxelles que tu peux contacter si tu as envie de discuter avec nous et on cherchera des solutions ensemble. Je rencontre souvent des jeunes qui ont des conséquences physiques à leur harcèlement, qui ont souvent des nausées, qui dorment mal, il ne faut pas hésiter à aller voir un médecin ou un psy.
Il y a aussi des lignes téléphoniques auxquelles tu peux t’adresser si tu veux rester anonyme, il y a notamment le 103 qui s’appelle Écoute-Enfants qui est à destination des enfants et des adolescents et avec qui tu peux parler pour recevoir des premiers conseils, etc.
Ce sont quelques pistes mais il y en a d’autres. On a rédigé des fiches sur Bruxelles-J qui reprennent vraiment tous les conseils. Et pour les adultes, même conseil vous pouvez activer les mêmes ressources et vous pouvez aussi prendre connaissance de nos fiches pour voir un peu ce qui est possible.
Un mot de la fin ? Quelque chose qu’on n’a pas dit ?
Aimez-vous les uns les autres (rires).
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